Nous avons le plaisir de vous inviter au 29ième Platformconcert pendant l’exposition ‘Here Comes the Sun’, le dimanche 5 juin à 10h45.
Un cadre inspirant, de la musique live et une introduction aux œuvres de la vente par Peter Bernaerts, un passionné d’art. Suivi d’une promenade sans engagement dans l’exposition. C’est ce que nous pouvons vous offrir !

Traditionnellement, nos programmateurs Ellen De Cock (piano) et Wim De Cock (alto) clôturent la saison des ‘Platformconcerts’.
Ils sont partis à la recherche de personnalités musicales de leur environnement professionnel pour lesquelles ils ont une grande admiration.
Wim a déjà joué en duo avec Hans De Vos et régulièrement en quatuor avec Michiel Dutré. En studio (enregistrements) et en tant qu’orchestre de chambre, tous trois ont joué régulièrement avec Lode Leire.
Tous les musiciens sont actifs dans le secteur de l’éducation en plus de leur travail de concert. Lode Leire est professeur au conservatoire, Ellen, Hans, Wim et Michiel ont chacun leur propre classe d’enseignement artistique à temps partiel. Ellen et Wim partagent également leur passion dans l’école d’alto Altelier.

Musiciens
Piano : Ellen De Cock
Violon : Hans De Vos
Alto : Wim De Cock
Violoncelle : Michiel Dutré
Contrebasse : Lode Leire

Programme :
‘Forellenkwintet’, F. Schubert
Quatuor avec piano n°1, J. Brahms

Le ‘Forellenkwintet’ de Schubert est une œuvre brillante de la période la plus heureuse de la vie du compositeur.
Franz Schubert a écrit le ‘Forellenkwintet’ alors qu’il passait l’été chez des amis à la montagne. Il avait 21 ans et venait de décider de consacrer sa vie exclusivement à la composition. L’instrumentation inhabituelle est composée d’un violon, d’un alto, d’un violoncelle, d’une contrebasse et d’un piano, probablement réalisée pour les musiciens qui étaient amis et séjournaient également dans le village à l’époque. La jeunesse et le plaisir de la musique sont évidents, mais l’œuvre a aussi de la profondeur.
Le ‘Forellenkwintet’ de 1819, qui contient une série de variations sur sa propre chanson “La truite”, est devenu l’une des œuvres de musique de chambre les plus populaires. La combinaison de l’humour, du sérieux et de la beauté rend cette pièce musicale typique de Franz Schubert.

Il y a aussi le 1er quatuor avec piano de Brahms.
En 1861, Johannes Brahms a terminé ce premier quatuor pour piano. Tout au long du XXe siècle, sa popularité n’a cessé de croître, le public commençant à reconnaître en Brahms le maître ultime de la musique de chambre romantique. Son premier quatuor pour piano, violon, alto et violoncelle évoque la musique de Schubert, l’un des compositeurs préférés de Brahms.
Alors que ses contemporains écrivaient de la musique qui représentait une rupture claire avec le passé, Brahms écrivait dans les anciennes formes, qui s’accrochaient avec un relâchement agréable et trompeur, tout comme les œuvres de Schubert.
Le troisième mouvement de l’Andante a une grandeur rêveuse, ce qui est normalement un effet réservé aux forces orchestrales. Le finale du Rondo hongrois est un feu pur, traversant des thèmes entraînants avec une force concertée.
“Avec Brahms, un musicien n’est jamais subordonné à un autre. Il était bien trop démocrate pour cela, bien trop fasciné par l’écriture la plus ‘riche’ possible pour tout le monde. ”

Concert: 5 juin 10h45
La Salle ‘Platform’
Verlatstraat 18
2000 Anvers

Billets 18 € (étudiants 12 €)
réservation obligatoire via concerten@bernaerts.be